BTC
24h
Lors d'une conférence internationale sur Bitcoin, un responsable de chez Google a affirmé que le géant de la Silicon Valley voulait rendre la première crypto du marché « plus accessible aux utilisateurs traditionnels ». Cette déclaration fracassante a aussitôt fait le tour du monde et de la cryptosphère, car le leader mondial d'internet pèse lourd, très lourd, et son changement de paradigme pourrait bien faire basculer Bitcoin et la crypto dans une autre dimension.
Alors que de nombreux projets passionnants sont lancés chaque jour, et alors même que Bitcoin et les cryptomonnaies gagnent en légitimité semaine après semaine, c'est encore une histoire de memecoin douteux qui fait la une de l'actualité du secteur en ce milieu de mois de février. Venu tout droit d'Argentine et vanté par le président Javier Milei lui-même lors de son lancement, le LIBRA a déclenché une tempête médiatique et les conséquences pourraient être désastreuses pour l'homme fort de Buenos Aires.
Le 8 février dernier, près de 40 commerçants et professionnels polynésiens ont profité de la formation gratuite intitulée « J'accepte Bitcoin dans mon commerce » et quelques-uns sont déjà passés à l'étape suivante en affichant désormais sur leur vitrine et sur leurs réseaux sociaux le signe de ralliement d'une communauté mondiale : « Bitcoin accepted here ».
Dans une intervention devant le Comité bancaire du Sénat, le président de la Réserve fédérale est revenu sur les dernières années de politique anti-crypto de l'administration précédente et notamment sur la tendance à exclure de gros acteurs de l'industrie Web3 des services bancaires aux États-Unis. Les temps changent chez l'Oncle Sam et les planètes s'alignent enfin pour la crypto made in USA.
Le 9 février, via une vidéo postée sur son compte X, le président de la République de Centrafrique en personne a annoncé le lancement du memecoin $CAR (pour Central African Republic). Immédiatement, des voix se sont élevées pour remettre en doute la légitimité du projet en se basant notamment sur la qualité moyenne de la vidéo en question et en suspectant même un deepkake de la part de hackers.
Aucun impôt sur les cryptomonnaies détenues depuis plus de trois ans. Avec une telle annonce, inutile de vous dire que de nombreux cryptobros ont subitement cherché à replacer la Tchéquie sur la carte ! Il faut dire que la fiscalité est un élément ô combien important de nos vies quotidiennes et qu'à bien des égards, certains commencent à la sentir pesante dans notre bon vieil Hexagone. De quoi regarder attentivement ce qu'il se fait du côté de Prague, mais aussi de reparler des particularités de la Polynésie française.
Fondée en 1989 par Michael Saylor, la société MicroStrategy est devenu en quelques années la première entreprise du monde à posséder autant de bitcoins dans ses réserves. Accumulé dans le cadre du DCA le plus suivi de toute la planète Bitcoin, le trésor de Strategy, son nouveau petit nom, s'élève à 471 107 unités.
Les bourses traditionnelles sont rythmées par les heures d'ouverture, de fermeture, par les weekends, les jours féries et à l'heure d'internet et des cryptomonnaies, tout ceci paraît soudainement désuet. Les utilisateurs veulent pouvoir acheter et vendre à toute heure du jour ou de la nuit et le secteur va devoir s'adapter.
Jour après jour, la cryptomonnaie se diffuse à bas bruit dans toute l'économie et l'immobilier ne fait pas exception. Que ce soit pour accueillir de nouveaux clients ou pour simplifier les transactions, les professionnels du secteur se forment pour prendre le virage Bitcoin et c'est en Andorre que nous partons aujourd'hui pour assister à une formation intitulée : Certificació Immobiliària per a vendre amb Criptomonedes.
Les Émirats arabes unis en général, et Dubaï en particulier, sont en train de devenir un haut lieu du Web3 mondial. Fort d'une règlementation à la fois claire et conciliante, la ville réputée pour son architecture avant-gardiste mise gros sur la cryptomonnaie, à grands renforts d'argent public.
Cette année au Forum Économique Mondial de Davos, il fut question de géopolitique, de croissance mondiale, de transition énergétique, mais également de cryptomonnaie. Et la visite du nouveau Président américain n'y est pas étrangère.
L'idée d'une réserve stratégique en bitcoins fait son chemin dans plusieurs pays du monde et notamment aux États-Unis où Donald Trump l'a évoqué à de multiples reprises. Bonne ou mauvaise idée, les avis divergent sur la question, mais pour ce célèbre fonds de gestion américain, ce serait avant tout un bon moyen de réduire la dette colossale de l'Oncle Sam.
On entend beaucoup dire dans les grands médias et chez les détracteurs de Bitcoin que cette cryptomonnaie demande beaucoup d'énergie pour fonctionner, et cela n'est pas faux. Cette consommation est même en quelque sorte à la base de sa valeur et personne ne la remet en question. Cependant, il se pourrait que cette caractéristique en fasse un acteur important de la transition écologique et cela demande quelques explications.
Alors que les États-Unis font montre d'un intérêt grandissant pour une réserve fédérale en bitcoins, le reste du monde se pose toujours la question de la pertinence d'un tel projet. Toujours au cœur de l'actualité, le Forum économique mondial à Davos ne pouvait pas échapper à la question.
À l'image d'autres pays des BRICS+ qu'elle vient de rejoindre très officiellement, l'Indonésie veut sa place à la table de la mondialisation et le Web3 pourrait être un véritable tremplin pour son économie et sa jeunesse hautement technophile. Troisième au classement des pays ayant le plus utilisé la cryptomonnaie en 2024, l'Indonésie mise sur Bitcoin et les cryptomonnaies pour se refaire une santé financière et cela commence à porter ses fruits.
Le petit État asiatique coincé entre la Chine et l'Inde mise sur Bitcoin et la crypto pour dynamiser son économie et réduire ses déficits, et cela pourrait être un exemple à suivre pour d'autres pays ou d'autres régions du monde.