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Retour 11 juillet 2024

Tout comprendre à Ethereum (ETH) en 10 questions

2ème capitalisation du marché crypto, Ethereum (ETH) est déjà riche d'une longue histoire. Découvrez Ethereum sous toutes ses coutures, et faites connaissance avec un géant du Web3.

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Couverture 10 questions ETH

Ia ora na les amis ! Et bonjour à tous ceux qui ne parlent pas cette magnifique langue qu’est le Tahitien ! Nous allons découvrir ensemble ce qu’est Ethereum. Je vais vous aider à comprendre comment est née cette blockchain, pourquoi et par qui elle a été inventée et surtout quel est son intérêt ! Haere tatou!

1. Qu’est-ce que Ethereum ?

Au contraire du terme Bitcoin qui désigne deux choses (à la fois le réseau et l’unité de valeur), celui d’Ethereum est souvent mal utilisé.

En effet, Ethereum est le nom de la blockchain, pas de la cryptomonnaie. Si le terme blockchain vous est étranger, ou si vous n’êtes pas sûr de vraiment savoir ce qui se cache derrière, n’hésitez pas à lire cet article qui vous expliquera comment tout comprendre à la blockchain en 5 questions.

Avec Bitcoin, pas d’erreur possible. Le nom désigne à la fois la blockchain, et à la fois la cryptomonnaie qui est créée pour récompenser les mineurs, les personnes qui sécurisent le réseau en créant les blocs.

Sur Ethereum, il y a une distinction entre le nom de la blockchain qui est Ethereum, et l’Ether, la cryptomonnaie. Ether s’écrit aussi ETH, c’est ce que vous verrez le plus souvent dans les articles sur internet. C’est aussi sa désignation sur les plateformes d’échanges.

Ethereum

Le premier bloc d’Ethereum, appelé « Bloc genesis » a été créé le 30 juillet 2015.

2. Qui a créé Ethereum ?

La tête pensante à l’origine d’Ethereum s’appelle Vitalik Buterin.

A l’inverse de Bitcoin pour lequel Satoshi Nakamoto est resté anonyme, le créateur d’Ethereum est un jeune informaticien russo-canadien.

Vitalik

Aujourd’hui âgé de 32 ans, Vitalik n’en avait que 19 lorsqu’il a publié son livre blanc. C’est une description assez complète de son projet baptisé Ethereum.

Passionné par le Bitcoin et son infrastructure, Vitalik réfléchit à une blockchain qui permettrait d’étendre les possibilités de celle de Satoshi

Il décide alors de l’améliorer, en créant un nouveau langage qui sera Turing-Complet à l’inverse de celui du bitcoin qui n’est que procédural.

L’idée derrière ce mode de programmation est de permettre aux utilisateurs d’Ethereum la création et l’utilisation de ce qui sera appelé les Smart Contracts (contrats intelligents).

Le but de Vitalik est que la blockchain Ethereum deviennent la structure de base, la colonne vertébrale permettant de créer des applications, qui seraient alors totalement décentralisées.

En 2014 il met en prévente les tous premiers Ethers et c’est un succès immédiat. Il rassemble 31.591 bitcoins pour une valeur de plus de 18 millions de dollars à cette époque, ce qui va lui permettre d’avancer à vitesse grand V sur le projet. Il n’a alors que 20 ans !

Le 6 juillet 2014, Vitalik s’associera à Gavin Wood pour créer la fondation Ethereum en Suisse. Le but de la fondation est de gérer convenablement les 18 millions de dollars récupérés, et de développer de manière efficace la nouvelle blockchain.

Le 30 juillet 2015, la blockchain Ethereum est lancée. Il distribuera alors les 60 millions d’Ether de la prévente, et 12 autres millions qui seront destinés aux développeurs. Tous les Ether suivants seront créés par le minage, comme pour le Bitcoin.

3. Comment fonctionne Ethereum ?

Jusqu’au mois de décembre 2022, avec la mise à jour appelée « The Merge », le principe de fonctionnement d’Ethereum était le même que celui de Bitcoin. La blockchain utilisait le consensus de Proof of Work (preuve de travail en français) qui permet de valider la création des blocs en réalisant un travail, une recherche mathématique. La différence avec la blockchain Bitcoin était l’algorithme utilisé pour le hachage, la génération de ces blocs. Il était alors possible de miner de l’Ether avec une simple carte graphique, là où le Bitcoin a besoin de puces spécifiques.

Mineur

Mais ce fonctionnement a changé, et Ethereum à alors connu une évolution majeure. En effet, dans le but de réduire les frais de transaction qui s’avèrent parfois très, très coûteux, et minorer son impact sur l’environnement, Ethereum s’est tourné vers le consensus de Proof of Stake, traduit par « preuve d’enjeu » en français.

Cette nouvelle méthode de travail a également comme particularité d’augmenter grandement le nombre de transactions par secondes sur la blockchain, pour passer d’environ quinze auparavant, à des dizaines de milliers.

Aujourd’hui plus besoin de machines spécialisées qui tournent jour et nuit. Pour participer à la sécurisation du réseau (qui est faite par les mineurs en Proof of Work), il faut accumuler une certaine quantité de cryptomonnaies et les « staker ». Le staking consiste à bloquer, immobiliser ses tokens dans un smart contract afin de montrer que l’on souhaite participer à la validation du réseau.

A la différence du minage avec la preuve de travail, les blocs sont « forgés » en sélectionnant de manière aléatoire un « minter » qui sera alors récompensé avec des ETH s’il crée le bloc dans le temps imparti. 

Il est donc possible de stacker ses ETH dans un nœud. Chaque nœud, ou validateur, doit contenir en tout 32 ETH pour fonctionner. Mais tout le monde peut participer et staker ce qu’il possède, même si c’est une fraction d’ETH.

Depuis cette transition, il n’est plus du tout possible de miner de l’ETH.

4.Ethereum est-il sécurisé ?

Ethereum, au même titre que la blockchain Bitcoin est très sécurisé.

Le principe même de la blockchain implique une sécurité optimale. Chaque bloc créé est lié, par empreinte cryptographique, à celui qui le précède. Une personne mal intentionnée qui souhaiterait modifier les données de la blockchain devrait déployer une puissance de calcul (et donc une puissance financière) incommensurable. Il lui faudrait en effet obtenir plus de 51% de la puissance de calcul totale mobilisée. L’investissement nécessaire, pour seulement modifier un bloc, ne serait pas du tout rentable.

Avec le passage en POS (Proof of Stake) adopté par Ethereum, il faudrait qu’une personne détienne au moins 66% du total d’ETH mis en staking pour réussir une telle attaque.

Il y a un équilibre parfois difficile à trouver entre la sécurité d’une blockchain, sa décentralisation et sa scalabilité (possibilité d’évoluer dans le temps). Le Proof of Stake permet une meilleure scalabilité et permet d’augmenter également la sécurité du réseau.

Comme pour le Bitcoin, la blockchain Ethereum n’a jamais été mise en défaut. Tous les piratages qui ont eu lieu au cours du temps se sont passés sur des plateformes d’échanges, ou des protocoles utilisant la blockchain Ethereum.

Le plus célèbre d’entre eux a eu lieu en mai 2016 avec une plateforme appelée TheDao. Grâce à une faille dans le code, des pirates ont pu récupérer près de 4 000 000 ETH.

Cette malheureuse aventure à conduit à ce qu’on appelle un hard fork, un scission dans la blockchain.

En effet, en mai 2016, une organisation a été créée pour réunir des fonds en Ether afin de financer des projets utilisant la blockchain Ethereum. Malheureusement une faille sera exploitée par des pirates qui détourneront un tiers de l’argent stocké pour ensuite déplacer les fonds sur une blockchain clone de celle d’Ethereum.

L’organisation remboursera alors les investisseurs lésés et proposera une mise à jour de la blockchain pour valider ce remboursement. Mais 15% des mineurs ont refusé d’appliquer cette mise à jour, créant ainsi le tout premier fork (fourchette en français), la première branche dissidente de la blockchain Ethereum.

L’une de ces branches, officielle et soutenue par les développeurs gardera son nom et sa monnaie l’Ether qui a pour symbole ETH et l’autre deviendra alors l’Ether Classic (ETC) dans laquelle les hackeurs garderont l’argent détourné.

Les deux cryptomonnaies existent encore aujourd’hui, l’Ether valant approximativement 3000 $ et l’ETC environ 20$.

5.Comment les nouveaux Ether sont-ils créés ?

Comme nous l’avons vu précédemment, aujourd’hui l’ETH est créé par les minter qui valident les blocs. Ces derniers permettent à la blockchain d’être sécurisée, et mettent en séquestre leurs ETH dans l’opération. Ce travail entraine donc des contraites, et pour que les minter continuent d’être actifs, il faut les rémunérer.

Ainsi pour chaque bloc validé, le minter qui a résolu le problème de calcul qui lui a été posé est récompensé par des ETH. Il recevra en plus une partie des frais de transactions qui ont été payés.

Il est à noter que jusqu’en août 2021, Ethereum était construit sur un modèle inflationniste.

Chaque jour de nouveaux ETH étaient créés et mis en circulation, faisant augmenter en permanence le nombre d’ETH sur le réseau. Ce mode de fonctionnement a un problème majeur, il a pour conséquence de faire baisser les prix de la cryptomonnaie, car parfois l’offre devient plus forte que la demande, ce qui entraîne mathématiquement une baisse du prix.

C’est pourquoi l’EIP 1559 a été déployée sur le réseau. Une EIP est une évolution, le terme voulait dire « Ethereum Improvements Propososal », soit Proposition d’Amélioration d’Ethereum en français. Cette modification a entraîné la mise en place d’une destruction systématique d’ETH a chaque validation d’un bloc.

La partie des frais payés par l’utilisateur lors d’une transaction sont purement et simplement détruits (brûlés, burn en anglais). Cette technique a pour but de réduire le nombre d’Ether en circulation, et donc de rendre la blockchain Ethereum déflationniste.

A l’heure actuelle c’est ainsi plus de 2,6 millions d’ETH, soit approximativement 4 milliards de dollars qui ont été brulés.

6. Quel est l’apport d’Ethereum au monde crypto ?

Comme vous l’avez compris, Bitcoin a révolutionné le monde. La création de la toute première blockchain a permis d’en développer bien d’autres par la suite. Mais Ethereum est elle aussi une révolution à part entière.

En partie 2. Qui a créé Ethereum ? , je vous ai parlé des Smart Contract. Cet ajout permet de créer des applications, de manière totalement décentralisée et sécurisée.

Un Smart Contract est un programme, que chacun est libre d’écrire, qui permet de réaliser des actions, sous certaines conditions.

Là ou la programmation de Bitcoin est procédurale, des actions sont exécutées les unes après les autres dans des conditions définies, celle d’Ethereum est ce qu’on appelle Turing Complet.

Ce nom vient de son créateur Alan Turing, mathématicien et cryptologue hors pair qui créa la machine de Turing, et qui deviendra le père des langages de programmations modernes que nous connaissons actuellement.

Vitalik a donc mis en place un langage de programmation appelé Solidity, qui est Turing Complet. A l’inverse du code de la blockchain Bitcoin, celui d’Ethereum permet d’exécuter des actions, suivant des conditions telles que If, Then, Else, des mots-clés très courant en programmation.

Ces conditions permettent de déterminer des actions à faire en fonction des éléments que l’on donne au départ.

Imaginons une petite application développée sur la blockchain Ethereum qui vous permettrait de gérer votre bibliothèque multimédia. Il serait possible de stocker dans la blockchain votre collection de livres et de blu-ray.

Lorsque vous créez un nouvel enregistrement, vous indiquez le type d’élément que vous souhaitez enregistrer.

Si (IF) c’est un livre, alors (THEN) l’application vous proposera l’interface correspondante, avec les informations le concernant. Sinon (ELSE) elle sait que ce n’est pas un livre, mais un blu-ray, et elle vous présentera une autre page.

En plus de ces conditions, pour être Turing Complet le langage doit être déterministe. C’est-à-dire que si vous répétez 100 fois la même opération, avec les mêmes détails en entrée, alors vous devez obtenir 100 fois le même résultat.

Ethereum permet donc de créer des applications, via les smarts contracts et son langage, le Solidity.

Smart contract

Ce fonctionnement implique des frais supplémentaires, qui n’existent pas sur Bitcoin. Chaque opération sur un smart contract à un coût. Ces coûts sont exprimés en une unité que l’on appelle le GAS (carburant en français).

Un transfert sur la blockchain Ethereum coûte 21.000 gas. Une addition dans un smart contract coûtera 3 gas alors qu’une multiplication en coûtera 5. Plus le calcul est complexe et demandera de ressources, plus il coûtera cher.

Ce concept est important car lors d’une transaction il faut bien tenir compte de tous ces frais. Un wallet (portefeuille) tel que Metamask vous donnera l’estimation des frais. Il faut aussi tenir compte d’un degré d’urgence qui existe dans les transactions.

Plus vous souhaitez que la transaction soit validées rapidement, donc prise en charge dans les blocs qui vont être forgés prochainement, plus elle vous coûtera cher.

Car en effet les minter ont la possibilité de choisir les transactions à faire passer en priorité. Souvenez vous, ils sont rémunérés avec une partie des frais de transaction !

Vous pouvez donc décider de donner une valeur plus importante à ce gaz afin que votre transaction soit traitée rapidement. Cette valeur s’exprime en GWEI, qui veut dire Gigawei.

Le Wei est pour l’ETH ce qu’est le Satoshi pour le BTC. C’est-à-dire la plus petite unité divisible de l’Ether. Un ETH = un milliard de Gwei.

Le coût d’une transaction sur Ethereum est donc le produit du coût en gas de votre transaction par le prix que vous accordez (en Gwei) à l’unité de gas.

Si l’on prend l’exemple d’une transaction simple, coutant 21.000 gas, avec un prix du gas à 30 gwei, le coût total sera de 630.000 gwei. Soit 0,00063 ETH, l’équivalent de 1,94$ au prix actuel de l’ETH.

Mais peut-être que pour faire passer votre transaction en priorité, pour l’achat d’un NFT par exemple, vous aurez besoin de payer plus cher. En sélectionnant un prix du gas à 80 ou 100 gwei.

Il n’est pas rare de devoir augmenter le prix et de voir de simple transaction à 50, 80 ou même 100$ sur la blockchain Ethereum. Son fonctionnement actuel rend vite compliqué les transferts pour de petites sommes.

C’est aussi une des raisons impliquant toutes les modifications apportées en 2021 et en 2022.

7. Qui fixe le prix de l’Ether ?

Comme pour le Bitcoin, personne ne contrôle le prix. Aucun état, aucune banque n’est en capacité d’intervenir et de bloquer son prix comme c’est le cas sur les monnaies fiduciaires.

Son prix est fixé par la balance entre l’offre et la demande. Si beaucoup de personnes désirent acheter de l’ETH mais que peu en vendent, alors le prix monte. A l’inverse s’il y a plus de vendeurs que d’acheteurs, alors le prix évoluera à la baisse.

Ce fonctionnement implique que son cours est lié à l’actualité, à l’économie et à la politique internationale. Une mauvaise nouvelle peut faire chuter le marché (comme la crise covid en mars 2020), et à l’inverse une actualité qui rapporte de bonnes choses peut faire grimper le prix.

L’innovation apportée par la blockchain, son adoption à plus grande échelle ou encore sa réputation peuvent également avoir une très grande influence sur le prix d’une cryptomonnaie.

Ainsi, là ou l’ETH valait 9$ en avril 2016, il valait 670$ en avril 2018 et 206$ en avril 2020 après le crash général dû au covid. Ce qui ne l’a pas empêché de remonter en flèche pour atteindre 2770$ en avril 2021 et venir toucher les 4858$ en novembre 2021, atteignant ainsi son point le plus haut connu (appelé ATH, All Time High).

8. Ethereum est-il anonyme ?

La réponse est simple : non. Ethereum n’a pas pour vocation de rendre les transactions anonymes.

La blockchain conserve les informations et les rend accessibles librement, et consultables par tous, à tous moments !

Ainsi chaque transaction est tracée. Il est possible de voir d’où elle est partie (adresse du wallet d’envois) et où elle est arrivée (adresse du wallet de réception).

Mais comme aucun nom n’est rattaché à ces wallets, il n’est pas possible (facilement en tout cas) de faire le lien entre vos nom et votre porte-monnaie, et donc vos fonds.

Ce mode de fonctionnement n’est pas anonyme, mais pseudonyme. En effet les transactions que vous effectuez sont visibles par tous, mais si vous n’indiquez pas de quel wallet vous êtes propriétaires, alors on ne sait pas quelles sont vos transactions parmi des milliards d’autres.

9.Ethereum est-il légal ?

Ethereum, la blockchain, et sa cryptomonnaie l’Ether sont tout ce qu’il y a de plus légal. Vous pouvez donc utiliser la blockchain et acheter des ETH sans aucune crainte depuis la France ou la Polynésie française.

Attention cependant, de plus en plus de pays adoptent une législation autour des cryptomonnaies, et de la régulation apparaît tout autour du globe.

Ca n’implique pas qu’Ethereum risque de devenir un jour illégal, mais tout simplement la possibilité que le cadre d’achat et d’utilisation soit plus restreint dans l’avenir.

10.Qu’est-ce qu’Ether a de plus que les autres cryptomonnaies ?

Là où Bitcoin est appelé l’Or Numérique, on pourrait imaginer qu’Ether soit l’Argent Numérique.

Les possibilités offertes par la blockchain Ethereum, et son évolution permanente en font un incontournable de l’écosystème des cryptomonnaies.

L’Ether n’est pas une cryptomonnaie avec une supply fixe, contrairement au Bitcoin. On sait qu’il n’y aura jamais plus de 21 millions de BTC en circulation, c’est écrit dans le code. Les ETH eux ne sont pas limités, même si le modèle déflationniste mis en place va introduire petit à petit une notion de rareté.

Son prix est souvent lié à celui du Bitcoin. Lors de grands mouvements du BTC, en général, l’ETH les répercute. Mais le fonctionnement différent de sa blockchain, et surtout son utilité complètement autre en font une référence incontournable.

Il ne se passe pas une journée sans que l’on voit apparaître une crypto ou une blockchain « Ethereum killer ». Aucune aujourd’hui n’a su réellement relever le défi. La plupart sont même ce que l’on appelle « Ethereum Compatible », ce qui démontre la position importante et indétrônable du numéro 2 du classement.

Malgré des cours de marchés parfois difficiles (bear market de 2017 par exemple), Ethereum a su maintenir sa place de leader, à la fois grâce à ses apports via les smarts contract et à l’écosystème de la Défi, et grâce à son équipe de développement toujours sur la brèche !

J’espère que cet article aura répondu à nombre de vos interrogations sur Ethereum, sa blockchain et sa cryptomonnaie, de sa naissance à son fonctionnement.

Il vous reste certainement des questions, comme comment acheter de l’ETH, comment le stocker ou le staker, comment l’utiliser… Toutes ces questions trouveront des réponses rapidement dans d’autres articles qui arriveront très vite !

Cryptortue

J'écris des articles, j'écris des histoires, je m'occupe d'une bande de tortues sur une île et j'aime le web3. C'est un beau résumé, non ? Aller. Dites oui !

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